Tout ceci était nouveau pour moi et pourtant, j’en redemandais, comme si le fait de ne pas avoir été performant me hantait désormais. C’était peut-être pour cela que je n’avais peut être pas apprécié à sa juste valeur sa petite gâterie. Oh, n’allez pas penser que je n’y ai pris aucun plaisir, ma virilité ne serait pas aussi dur si ce n’était pas le cas. Elle faisait cela très bien mais étrangement, je ne voulais pas passer à autre chose sans avoir terminé la précédente. J’avais échoué même si apparemment c’était normal et je voulais, maintenant que j’étais de nouveau prêt, réessayer. Ainsi, je lui demandais de se lever et en fit de même avant de la plaquer contre le mur. J’aimais sa surprise et son corps dans sa robe, je voulais qu’elle la porte pour cette seconde fois, je pouvais m’imaginer à ce moment précis que nous étions quelques heures plus tôt, quand elle avait débarquée dans le hall. A ce moment-là, j’avais ressenti de l’envie mais j’avais été incapable de deviner de quoi il s’agissait. Je comptais bien rattraper le temps que j’avais perdu car si je l’avais su, je me serais surement occupé de son cas sur place. C’était amusant de s’imaginer ça mais je revoyais le film dans ma tête. J’avais vu ses seins de différentes manière alors je les caressai et les fit sortir de sa robe.

Sa poitrine avait une taille normale mais je l’adorais, j’aimais prendre chacun de ses seins entre les paumes de mes mains, c’était un sentiment délicieux. Pourtant, je ne m’attardai pas et releva sa robe comme lorsque j’avais découvert son fessier dans ce bar. J’attrapais alors ma virilité entre mes doigts et la dirigea vers son intimité. Elle m’aida en levant un peu sa jambe. Je savais qu’elle ne faisait pas cela pour me faire plaisir, elle en avait envie tout autant que moi. Je ne l’avais pas satisfaite la dernière fois et Kanon me l’avait dit tout à l’heure : Elle n’en avait jamais assez. Je sentais l’excitation dans ses yeux et ce fut probablement pour cette raison que je m’enfonçai en elle d’un coup avant de commencer à mouvoir mon bassin. Elle poussa un petit gémissement avant de prendre enfin la parole. Je m’attendais à ces mots. Pour la première fois c’était normal mais si je demandais une seconde alors je devais assurer.

C’était quitte ou double : Soit je lui donnais du plaisir, soit son corps ne m’appartiendrait plus. Je pris alors le risque et accéléra mes mouvements. Pourtant, elle pouvait encore parler ce qui prouvait que j’étais encore loin du compte. Bien sûr, je l’avais entendu gémir mais cela n’avait pas la puissance de lorsque j’avais été entre ses cuisses. Elle me demanda d’utiliser plus de force, me rappelant qu’elle était ici pour prendre son pied et me fit comprendre qu’elle me voulait plus violent, plus sauvage, que je ne devais pas m’inquiéter pour elle. Ses jambes s’enroulèrent alors autour de mon corps. Ainsi, j’avais un meilleur appui et lorsqu’elle rajouta que le soldat devait aller plus vite, j’esquissais un sourire avant de la plaquer plus violemment contre le mur, je me mis alors à accélérer mes mouvements, allant moins profondément mais faisant des vas et viens bien plus rapides. Son dos était désormais plaqué au mur et j’y mettais toute ma volonté. Parfois, je ralentissais d’un coup pour m’enfoncer elle en elle avec violence et intensité.

« Je ne vais pas te décevoir… tu m'appartiens… Ton corps.... est à moi...»

Ses mots me motivèrent encore plus et tandis que je continuais mes coups de bassins avec puissance l’une de mes mains attrapai l’un de ses seins et le pressa violemment entre mes doigts. Je voulais voir si cela lui plaisait. Je comptais bien maltraiter complétement sa poitrine si cela lui permettait de prendre son pied comme elle aimait si bien le dire.